Base des structures de recherche Inria
Applications statistiques des systèmes de particules en interaction
SIGMA2 (SR0293GR) → ASPI → ASPI (SR0768WR)
Statut:
Terminée
Responsable :
François Le Gland
Mots-clés de "A - Thèmes de recherche en Sciences du numérique - 2023" :
Aucun mot-clé.
Mots-clés de "B - Autres sciences et domaines d'application - 2023" :
Aucun mot-clé.
Domaine :
Mathématiques appliquées, calcul et simulation
Thème :
Approches stochastiques
Période :
10/01/2005 ->
31/12/2016
Dates d'évaluation :
17/03/2010 , 20/03/2014 , 15/03/2018
Etablissement(s) de rattachement :
U. RENNES 1, U. RENNES 2, CNRS
Laboratoire(s) partenaire(s) :
IRMAR (UMR6625)
CRI :
Centre Inria de l'Université de Rennes
Localisation :
Centre Inria de l'Université de Rennes
Code structure Inria :
031004-0
Numéro RNSR :
200518358M
N° de structure Inria:
SR0123CR
Les objectifs scientifiques d'ASPI sont la conception, l'analyse et la mise en œuvre de méthodes de Monte Carlo avec interaction, ou méthodes particulaires, ou méthodes de Monte Carlo séquentielles (SMC), dédiées à
ASPI mène des activités de recherche de nature méthodologique, de façon à obtenir des résultats génériques, avec des techniques empruntées aux nombreuses disciplines qui ont contribué au domaine (systèmes de particules en interaction, processus empiriques, algorithmes génétiques, modèles de Markov cachés et filtrage non-linéaire, statistique bayésienne, méthodes de Monte Carlo par chaîne de Markov (MCMC), etc.), et met en œuvre ces techniques et ces résultats sur des exemples appropriés, dans le cadre de collaborations avec des partenaires industriels et académiques.
De manière intuitive, les méthodes de Monte Carlo avec interaction sont des méthodes de simulation séquentielles, dans lesquelles des particules
Ce mécanisme de mutation / sélection a pour effet de concentrer automatiquement les particules (i.e. la puissance de calcul disponible) dans les régions d'intérêt de l'espace d'état. Dans le cas particulier du filtrage particulaire, qui a de nombreuses applications en localisation, navigation et poursuite, suivi visuel, robotique mobile, etc., chaque particule représente un état caché possible, est est multipliée ou éliminée à la génération suivante au vu de sa cohérence avec l'observation courante, quantifiée par la fonction de vraisemblance. Avec ces algorithmes de type génétique, il devient facile de combiner efficacement un modèle a priori du déplacement avec ou sans contraintes, des mesures issues de capteurs, et une base de mesures de référence, par exemple sous la forme d'une carte numérique (modèle numérique de terrain, carte de couverture, etc.). Dans le cas le plus général, les méthodes particulaires fournissent des approximations de distributions de Feynman-Kac, au moyen de la distribution de probabilité empirique pondérée associée à un système de particules en interaction, avec des applications qui vont bien au-delà du filtrage, en simulation d'évènements rares, optimisation boîte noire, simulation moléculaire, etc.
La position est calculée automatiquement avec les informations dont nous disposons. Si la position n'est pas juste, merci de fournir les coordonnées GPS à web-dgds@inria.fr